À propos
Notre vision
Depuis la nuit des temps, l’Homme a cherché à contrôler son environnement. A l’époque des Hommes des cavernes déjà, on allumait des feux à l’entrée des grottes pour se réchauffer et se protéger de la rigueur du climat.
Se chauffer, tout comme la faim, fait partie des besoins fondamentaux de tout être humain ; cela impacte nos émotions et notre attitude. Chez KEVEMA, nous sommes persuadés que tout le monde a le droit au confort.
Notre vision est basée sur trois principes : rigueur, simplicité et efficacité.
Nombreuses sont les entreprises qui se fixent de grands objectifs comme d’être « moteur de la transition énergétique ». Notre objectif est plus simple : Rendre votre installation de chauffage la plus performante possible et le plus longtemps possible.
Nos valeurs
Pour nous, il est important de remettre l’humain au cœur des préoccupations. C’est pourquoi nous favorisons les échanges et les discussions avec nos clients autour du thème de la chaufferie collective en copropriété.
Jugement
- Chercher à prendre les bonnes décisions
- Identifier les causes réelles des problèmes
- Eviter les décisions de court terme et valoriser le long term
Communication
-
Être à l’écoute et chercher à comprendre
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Maintenir une attitude calme dans les situations stressantes pour prendre les bonnes décisions
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Conseiller et répondre aux questions
Curiosité
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Apprendre avec entrain
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Rester curieux et se tenir informés
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Chercher des solutions alternatives à certains problèmes
Courage
- Prendre position dans les moments les plus délicats
- Remettre en question les actions qui vont à l’encontre de nos valeurs
- Connaitre et accepter les limites de ses connaissances
Passion
- Inspirer les autres avec notre recherche de l’excellence
- Transmettre nos connaissances
- Faire preuve de rigueur dans notre travail
Innovation
- Anticiper les problèmes et suggérer de meilleures approches
- Minimiser la complexité et rechercher la simplicité
- Provoquer le changement
Intégrité
- Agir dans l’intérêt du plus grand nombre
- Admettre nos erreurs et les assumer
- Traiter chaque personne avec respect indépendamment de son statut ou de ses opinions
C’est facile d’écrire et de présenter des valeurs mais c’est plus compliqué de les appliquer au jour le jour. Lorsqu’on parle de jugement, on dit « Éviter les décisions de court terme et valoriser le long terme ». On veut présenter toutes les solutions possibles à nos clients en détaillant chaque avantage et inconvénient. Les solutions de long terme sont généralement plus difficiles à appréhender mais c’est pour ça qu’on les met en avant, pour permettre une prise de décision objective.
Au niveau de la passion, on dit « Faire preuve de rigueur dans notre travail ». Il s’agit d’une des qualités les plus importantes selon nous. Nous faisons preuve de rigueur lorsqu’on s’efforce de penser les choses jusqu’au bout, sans s’arrêter en route. C’est le cas pour nos études dans lesquelles nous poussons la conception à son maximum. Pour nous, la rigueur s’étend également à l’organisation qui doit permettre à la personne en charge d’éviter de se noyer dans un verre d’eau. Et enfin, une personne rigoureuse, c’est une personne sur qui on peut compter, une personne fiable et de confiance.
« La simplicité est la sophistication suprême » – Léonard de Vinci. Nous pensons qu’aujourd’hui, il y a un réel besoin de simplicité. Tout est pesant, lourd et complexe. C’est pourquoi quand nous parlons d’innovation, on dit qu’il faut « Minimiser la complexité et rechercher la simplicité ». Cette réflexion se passe lors de nos études quand nous recherchons la solution la plus simple à un problème. Mais aussi à travers notre communication lorsqu’on échange sur des sujets complexes comme les équipements d’une chaufferie avec nos clients.
Notre histoire
Notre histoire pourrait certainement se résumer en quelques lignes mais si vous êtes sur cette page À propos c’est que vous souhaitez en savoir plus sur nous.
Kevin : Avec Marc (mon associé), on est spécialisé dans la conception, la réalisation et le suivi de productions de chauffage et d’eau chaude collectives en copropriété.
Peu de temps après notre rencontre, j’ai remarqué que Marc a un profil très cartésien, ce qui est certainement normal pour un ingénieur. Au contraire, je suis plutôt un homme de terrain et j’ai dû mettre les mains dans le cambouis surtout lorsque j’étais conducteur de travaux.
Mais, entre nous, ça fonctionne bien. On voit rarement les problèmes sous le même angle, ça nous permet justement d’éviter les erreurs et de garder uniquement les meilleures idées.
Pourtant, tous les deux, mais chacun de notre côté, on aspirait à quelque chose de plus grand. On ressentait comme une frustration de ne pas pouvoir aller plus loin dans nos projets. On avait envie de créer quelque chose de toute pièce dans lequel on pourrait y mettre notre rigueur, notre vision et notre âme.
La troisième personne qu’on est obligé de présenter dans cette histoire, on ne la connaissait pas encore. Il s’agissait de Cédric, un de nos futurs clients.
Cédric et sa femme était en train de chercher un nouvel appartement car leur deux pièces allait très bientôt devenir trop petit. Après quelques recherches et plusieurs visites, ils pensent avoir trouver l’appartement qu’il leur faut dans un immeuble un peu ancien des années 60.
Quand ils en ont parlé autour d’eux, leurs parents les ont mis en garde : « Attention avec les immeubles anciens, vous ne savez pas comment ils ont été entretenus depuis toutes ces années. ».
Les deux jeunes étaient de nature optimiste et ils étaient persuadés que c’était l’appartement de leurs rêves. Bien agencé, bien orienté, lumineux et répondant à la plupart de leurs critères, ils n’ont pas hésité longtemps avant de se lancer.
Après avoir emménagé dans leur tout nouvel appartement au début de l’été, tout se passait bien.
Quelques mois plus tard, les températures ont commencé à chuter à l’approche de l’hiver. Une journée de décembre, en se levant le matin, Cédric a eu froid. Les températures étaient basses, ça devait certainement être normal. Et puis, on a tous un peu froid en sortant de dessous la couette, non ?
Mais quand il a voulu prendre sa douche… pas d’eau chaude.
En touchant un radiateur, il a senti qu’il était froid. Certainement un problème exceptionnel qui serait rapidement résolu. Comme tout bon copropriétaire, il a prévenu son syndic avant de partir travailler. En rentrant le soir, l’appartement était chaud et l’eau chaude était revenue.
Le problème c’est que… ça a recommencé.
Ça faisait deux jours maintenant que la copropriété n’avait plus de chauffage et plus d’eau chaude. Cette fois-ci le problème ne venait pas de la chaudière. C’était la cuve à fioul qui avait percé. Lorsque Cédric est descendu dans le local de la chaufferie pour la première fois, il s’est dit :
« C’est pas possible ! Comment notre installation peut être dans un tel état ? ».
Humide, sombre, salis et noircis par le fioul, le local et les équipements étaient effectivement en piteux état.
L’exploitant a rapidement installé une cuve provisoire dans le local vélo pour maintenir le chauffage et l’eau chaude dans la résidence. Le coût pour réparer la cuve était faramineux : plus de 15 000 €…
Les copropriétaires s’étaient réunis en urgence pour discuter du problème. Cédric, qui avait vu l’état de la chaufferie, a fait part de ses inquiétudes à ses voisins :
« On ne va pas pouvoir rester comme ça longtemps. Il va falloir agir et vite. »
Le reste de l’assemblée avait du mal à s’imaginer la gravité de la situation telle que lui la voyait. Ici, pas besoin d’être un expert pour dire qu’ils vivaient avec une épée de Damoclès au-dessus de la tête.
Personne ne semblait vouloir s’occuper du problème. Alors il s’était posé la question de ce qu’il devait faire : serait-il capable de s’en occuper ?
Ce dont il était sûr c’est qu’il était hors de question qu’ils se retrouvent de nouveau en panne. Il a donc annoncé à l’assemblée qu’il prenait les choses en main.
Pour aller au bout, il aurait besoin de l’aide de gens compétents dans ce domaine. Et c’est à ce moment-là, d’abord par un coup de téléphone puis par une rencontre en personne que nous avons pris le projet en route.
Compte tenu du coût de réparation pour la cuve et l’âge avancé des chaudières, on a proposé de rénover l’installation en la passant au gaz. C’est la solution qui nous semblait la plus pertinente et c’est là-dessus qu’on est parti.
Vu l’urgence, on a tout de suite étudié le projet de la nouvelle chaufferie. On avait réalisé les calculs de déperditions et dimensionné tous les équipements essentiels à la nouvelle installation de la chaudière jusqu’aux différents diamètres des nouvelles tuyauteries.
Après quelques jours de travail, la phase de conception touchait à sa fin et le projet nous semblait bien ficelé. En prime, on avait également trouvé des subventions permettant de financer une partie des travaux.
Tout nous semblait bon. On se pensait prêt à présenter le projet à la copropriété.
Mais la réunion de présentation fut plus que compliquée…
Des projets, on en a mené des centaines mais c’est la première fois qu’on faisait face à une telle réaction. Les copropriétaires présents n’étaient pas vraiment emballés. La plupart ne semblait pas non plus conscient de la gravité de la situation malgré l’intervention de Cédric.
A ce moment-là, on a commencé à sérieusement douter. Vu comment s’était passée la réunion préparatoire, le projet était compromis et jamais il ne serait validé.
Quelques jours après la réunion, nouveau drame, le ballon d’eau chaude a percé. Nouvelle panne totale et les copropriétaires se sont de nouveau retrouvés sans eau chaude en plein hiver.
Cédric était dépité et avait perdu tout son optimisme.
On s’est rendu sur place pour voir la situation. Comme on pouvait s’y attendre, le sol était trempé mais c’était moins grave que ce qu’on s’imaginait. Cependant, le ballon avait été mis à l’arrêt et on apercevait effectivement un petit trou plus petit encore qu’une pièce de 1 centime.
Il fallait qu’on trouve une solution rapidement.
On s’est souvenu qu’on avait déjà été confronté à un cas identique. Notre mentor avait résolu le problème grâce à un manche à balai. Coupé puis martelé dans le trou, le bout de bois avait ensuite gonflé au contact de l’eau.
On est d’accord, c’est du rafistolage à la MacGyver et l’étanchéité n’est pas parfaite mais en attendant, la copropriété avait de nouveau de l’eau chaude.
De son côté, Cédric s’était ressaisi et avait entamé une grande campagne de communication auprès de ses voisins. La nouvelle panne brutale avait également permis à certains de prendre conscience de la situation.
Lors de l’assemblée générale, le projet de travaux a été mieux reçu à cause des péripéties qu’il y avait eu durant l’hiver. Le chantier de travaux a démarré au début de l’été et a duré jusqu’à fin septembre. On a pu maintenir la production d’eau chaude durant les travaux excepté sur deux demi-journées pour raccorder les nouvelles installations.
Le chantier s’est terminé sans encombre et les copropriétaires bénéficient aujourd’hui d’une installation entièrement rénovée. En plus de faire des économies, ils vont pouvoir passer un hiver plus serein.
L’année d’après avant l’arrivée du grand froid, on est passé prendre des nouvelles de Cédric pour savoir si tout allait bien. Il nous a remercié pour notre implication et notre aide dans ce projet. Au final, c’était un véritable travail d’équipe car sans sa détermination, le projet n’aurait sans doute pas abouti.
Chaque projet qu’on réalise est une aventure.
Et en rentrant, une réflexion nous est passée par la tête : on aimerait vraiment continuer à travailler ensemble mais sur nos projets à nous.
Ce fut le déclic dont on avait besoin, le coup de pied aux fesses pour passer le pas. Et le grand écrivain français Victor Hugo avait parfaitement compris cela : « Rien n’arrête une idée dont le temps est venu. »
C’est comme ça qu’en 2019, la société KEVEMA est née.
Le nom pour notre entreprise a été comme une évidence. Composé de nos deux prénoms, il est le symbole de notre complémentarité et un gage de notre qualité.
Désormais, pour la suite de notre histoire et de notre aventure, nous comptons sur vous !